

Julie, Clovis, Gabin et Guillaume vous partagent leur vision des études en École de Commerce et vous livrent leurs précieux conseils pour profiter pleinement de votre vie étudiante.
Julie Paing
Arrivée à l’École en 3ème année après un DUT, elle s’apprête à entrer en M1 Expertise Marketing.
Campus : Caen.
Clovis Réant
Arrivé à l’École en 1ère année, il s’apprête à entrer en M1 Entrepreneuriat.
Campus : Caen.
Gabin Ernoult
Arrivé à l’École en 3ème année après une Prépa, il s’apprête à entrer en M1 Finance.
Campus : Le Havre (semestre 1) / Dublin (semestre 2).
Guillaume Boixel
Arrivé à l’École en 3ème année après une Prépa, il s’apprête à entrer en M1 Finance.
Campus : Le Havre.
Clovis : la possibilité de se constituer un réseau professionnel avec les Alumni et les rencontres que l’on fait pendant ses années à l’École.
Gabin : en effet, la force première de l’EM Normandie, c’est son réseau de diplômés. Quand je vais sur LinkedIn, je vois souvent des Alumni de l’École, cela renvoie une image positive.
Julie : on y retrouve une ambiance familiale et un fort sentiment d’appartenance. On est aussi largement accompagnés durant nos études.
Gabin : c’est vrai que l’École a une forte identité, des valeurs et une belle Histoire. La convivialité et la bienveillance règnent sur ses campus. Par exemple, celui du Havre est à taille humaine, on s’entend avec tout le monde et on y trouve facilement sa place.
La convivialité et la bienveillance règnent sur ses campus.
Clovis : il y a aussi les professeurs qui sont pour la plupart des enseignants-chercheurs, des experts de leur domaine, qui transmettent avec passion leurs connaissances.
Guillaume : les programmes sont complets et on peut se spécialiser en fin de parcours.
Guillaume : les cursus sont fortement orientés vers la professionnalisation avec l’alternance par exemple.
Clovis : en effet, on se professionnalise grâce aux nombreux stages, à l’alternance et aux projets réalisés en collaboration avec les entreprises.
Julie : l’École organise aussi de nombreux événements pour nous aider à trouver un stage ou une alternance.
Julie : pour ma part, c’est ce que j’espérais. Quand on intègre une École, on s’attend à avoir tous ces services, à être pris en charge et accompagnés dans nos démarches.
Guillaume : oui, moi aussi. Ma famille qui connaît ce milieu m’en avait parlé. Je n’ai pas été déçu. Les cours permettent de monter en compétence et la vie associative de s’épanouir personnellement.
Clovis : moi aussi, ma sœur a fait une École de Commerce quelque temps avant moi. Je savais à quoi m’attendre avant d’intégrer l’École, notamment sur la partie internationale.
Gabin : en intégrant l’EM Normandie, j’ai été très agréablement surpris et vraiment séduit par la vie asso qui m’a permis de progresser, de rencontrer beaucoup de personnes et de vivre l’Expérience EM Normandie à fond.
Clovis : on découvre énormément de nouvelles choses, de nouvelles matières, comme le droit par exemple. On applique nos connaissances au travers de Business Games, de travaux d’équipes, d’études de cas, d’oraux… On est par groupes de 40 et pour les langues en demi-groupes de 15-20 étudiants, ce qui crée de la proximité entre tous.
Gabin : on rencontre beaucoup de monde. Il y a beaucoup d’interactions entre étudiants et professeurs. On est tous très soudés. Il est agréable de vivre dans cette École qui nous offre un très bel endroit et de belles perspectives.
Guillaume : c’est une expérience très enrichissante d’un point de vue professionnel avec les cours, les stages et les projets. Mais aussi d’un point de vue personnel avec la vie asso. On rencontre de très bonnes personnes qui deviennent ensuite de bons amis.
Guillaume : le suivi des élèves est bien plus complet en École et les formations d’École de Commerce nous offrent de bons débouchés.
Gabin : dans l’enseignement supérieur, il faut être assez autonome dans tous les cas mais on est beaucoup plus encadrés en prépa ou en École de Commerce qu’en université. De plus, je préfère avoir sur mon CV un diplôme reconnu par les recruteurs pour l’expérience acquise sur le terrain. On a aussi un campus fabuleux au Havre avec beaucoup de services mis à notre disposition.
Julie : la relation avec les professeurs n’est pas la même et on a souvent des travaux pratiques par petits groupes d’étudiants. On ressent cet esprit familial et on se sent davantage accompagnés.
Clovis : le rapport élèves-profs n’est pas le même. Ils nous connaissent davantage en École.
Guillaume : pour son expérience de 150 ans, pour ses possibilités d’alternance et sa vie asso.
Clovis : j’avais le choix entre 3 Écoles dont l’EM Normandie que j’ai finalement choisie pour son parcours à la carte car on pouvait choisir où aller chaque année, changer de campus en France ou à l’international ou partir en université partenaire.
Gabin : étant Havrais d’origine, je l’ai choisie pour son nouveau campus. C’est une École qui investit : un nouveau campus au Havre et bientôt à Paris. Ses accréditations, la qualité de ses enseignements et sa vision à long terme ont aussi pesé dans mon choix.
Julie : pour son offre d’alternance car c’est l’École leader dans ce domaine. Je voulais aussi vivre pleinement ma vie d’étudiante après mon DUT : vie associative, expatriations, soirées étudiantes… et ne pas avoir de regrets par la suite.
J'ai choisi l'EM Normandie pour son offre d’alternance car c’est l’École leader dans ce domaine.
Gabin : en visitant l’ancien campus de Richelieu, je l’avais déjà trouvé très humain. Tout le monde se croisait dans les couloirs. Aujourd’hui, le nouveau campus Quai Frissard donne une autre grandeur à l’EM Normandie, que ce soit au Havre ou au niveau national, on a un campus impressionnant sur le plan architectural. De nombreux services sont mis à notre disposition et le campus est digitalement très intéressant.
Clovis : le campus de Caen est sympa mais tu y restes principalement pour les cours car il est un peu plus excentré que celui du Havre qui est en plein centre-ville. À Caen, on se retrouve surtout au centre-ville ou dans la salle d’études pour faire les travaux de groupe et la salle Chill pour se détendre.
Julie : le campus de Caen est très bien, toute la partie de l’extension des bâtiments est moderne. Les tables et chaises à roulettes permettent de s’installer comme on veut en classe. Les salles ont été équipées de barres de son et de matériel pour le twinning. Il y a eu d’énormes investissements.
Julie : oui, complètement. D’ailleurs, certaines de mes copines vont venir l’année prochaine à l’EM Normandie.
Guillaume : bien sûr, pour toutes les raisons déjà évoquées.
Gabin : pareil pour moi. Le réseau est vraiment important et la vie associative très dynamique.
Clovis : oui, surtout si l’on est intéressé par une formation en business, en management ou en marketing.
Julie : cette année, j’avais entre 20 et 30 heures de cours par semaine en comptant les projets associatifs. Il y a énormément de projets fil rouge, de projets de groupes, de cas concrets organisés par des enseignants qui sont également entrepreneurs.
Gabin : j’avais entre 22 à 23 heures par semaine de septembre à avril, soit 8 mois de cours.
Clovis : j’avais entre 17h30 et 20 heures de cours par semaine sans compter les travaux de groupes, les projets associatifs et le projet responsable.
Clovis : j’ai trouvé le cours de gestion de projets vraiment bien car très interactif. Le professeur nous expliquait la méthodologie et nous devions rendre nos projets. Il était toujours bienveillant dans sa manière de nous évaluer pour nous permettre de progresser. Ces cours de gestion me parlent beaucoup car je veux devenir entrepreneur plus tard.
Gabin : je garde un très bon souvenir du cours de stratégie. J’ai aimé les méthodes d’enseignement du professeur, avec une partie théorique et des échanges avec le groupe. On sortait du rang de la leçon pure en traitant notamment des sujets d’actualité des entreprises. Puis, on travaillait sur un cas pratique qu’on présentait au cours suivant devant les autres étudiants.
Guillaume : le cours d’étude du comportement du consommateur car on se plonge dans les stratégies d’entreprise pour comprendre les clients et les servir au mieux. Cela nous permet aussi de comprendre le fonctionnement des marques et des lieux de vente.
Julie : moi aussi, j’ai aimé le cours d’étude du comportement et de la psychologie du consommateur. On étudie le jargon et les ficelles du management au travers d’éléments concrets pour savoir réagir à différentes situations.
Gabin : on a de très bons rapports avec nos professeurs. Ils sont toujours à l’écoute. Par exemple, quand on a besoin de plus d’explications, on contacte nos professeurs par email et l’on reçoit une réponse assez rapidement. En tant qu’étudiant, si on est volontaire, on ne sera jamais délaissé.
Julie : ils sont hyper faciles d’accès et extrêmement disponibles par email. Nos professeurs connaissent tous nos noms et nous demandent régulièrement des nouvelles. On se sent considérés. Je pense également à ma professeure de mathématiques financières qui nous proposait des heures de cours supplémentaire en cas de besoin.
Clovis : le rapport est plus convivial qu’à la fac. L’année dernière (avant le Covid), j’ai croisé régulièrement mes professeurs sur les campus et même parfois en dehors.
Nos professeurs connaissent tous nos noms et nous demandent régulièrement des nouvelles. On se sent considérés.
Clovis : oui, j’ai rencontré la majorité des bons amis que j’ai aujourd’hui par le biais de l’intégration au début de mon cursus. Et cette année, j’étais parrain pour l’intégration des nouveaux entrants en début d’année.
Gabin : en période Covid, je me suis fait autant d’amis que j’aurais pu en avoir en temps normal. Tout d’abord, avec la période d’intégration, puis pour les listes de candidatures au BDE. Malgré les conditions, on a pu se retrouver en petits groupes, on est toujours restés soudés et avons toujours trouvé de quoi profiter de la vie.
Julie : on voit régulièrement les mêmes personnes, cela crée des affinités et on sort aussi ensemble le soir. Le fait de travailler par groupes et d’être invités à des soirées permet aussi de lier de nouvelles connaissances.
Clovis : il ne faut pas avoir peur d’aller vers les autres. La première année, personne ne se connaît ou quasiment. L’ambiance est bon enfant et bienveillante donc l’intégration se passe bien.
Guillaume : pour moi, il n’y en a pas. Il suffit de rester soi-même. Personne ne vous juge.
Julie : il faut aller vers les autres, participer à des soirées et être aidant en cours si quelqu’un en a besoin. Il faut aussi être actif en classe pour bien s’intégrer.
Gabin : la période d’intégration a été très importante pour moi et pour ma vie associative ensuite car j’ai rencontré une grande partie des personnes à cette période-là. L’administration nous épaule en cas de besoin, que ce soit pour notre intégration ou pour nous aider psychologiquement. Je trouve que l’École ne met personne à l’écart.
Julie : j’ai adoré le fait d’être accueillie le premier jour exclusivement par des étudiants. Cela nous met à l’aise dès le départ. J’ai aussi été tirée au sort pour participer à une enquête de satisfaction sur la rentrée. Cela permet de rencontrer des personnes et d’échanger sur notre premier ressenti. On a aussi un système de parrain / marraine qui permet de très vite s’intégrer dès la rentrée.
Guillaume : les journées d’intégration sont très bien organisées, très festives. On peut découvrir l’École, la ville et faire connaissance avec les autres étudiants.
Gabin : la période d’intégration a été très importante pour moi et pour ma vie associative ensuite. J’ai pu échanger avec énormément de personnes, partager des moments assez extraordinaires avec des personnes qui font aujourd’hui partie de mes meilleurs amis. Nous avons eu 3 jours avec des sorties intéressantes qui favorisent l’interaction entre les équipes et au sein des équipes. On s’est bien amusés avec les courses de caisse à savon !
Clovis : si on vit en dehors de chez ses parents, on a une « vie d’adulte ». On commence par des cours le matin. L’après-midi est libre pour travailler, se détendre, faire du sport et passer du temps avec d’autres étudiants. Le soir, on peut sortir.
Gabin : si on est impliqué dans la vie asso, on arrive le matin avec quelques minutes d’avance, on passe par l’EM Square sur le campus du Havre, c’est l’endroit où l’on se retrouve histoire de bien démarrer la journée. On a 3 heures de cours avec une pause de 15-20 minutes au milieu, ce qui permet de jouer au baby-foot ou au ping-pong, aller à la cafétéria ou aller pour prendre l’air.
Durant la pause du midi, on se retrouve pour manger à l’EM Square. Le campus étant en centre-ville, on peut aller rapidement chercher à manger. Ces endroits sont un bon moyen pour se retrouver, partager, jouer aux jeux vidéo et discuter de la vie associative.
Ensuite l’après-midi, on se retrouve après les cours pour travailler en groupe dans les endroits mis à disposition : Learning Center, médiathèque et l’EM Square avec un peu de musique pour ceux qui préfèrent travailler dans le bruit. Ensuite, on rentre chez nous ou on se retrouve près de la plage ou dans le centre-ville pour profiter de la fin de journée.
Julie : on arrive sur le campus le matin soit à 7h45 soit à 10h30. Durant l’heure de pause déjeuner, on se retrouve beaucoup entre étudiants. On peut aller manger au CROUS ou à la cafétéria du campus. On se retrouve aussi beaucoup le soir en afterwork pour décompresser. Les mercredis et jeudis sont dédiés aux projets associatifs.
Julie : personnellement oui, car je suis hyper investie dans les cours. Je cherche à aller toujours plus loin dans les exercices. Les étudiants qui fonctionnent différemment ont sûrement moins de travail. Je trouve qu’il est normal d’avoir du travail personnel, sinon cela ne sert à rien de faire une École de Commerce pour ne la faire qu’à moitié.
Guillaume : pour ma part, je n’ai pas énormément de travail. Mais il faut bien relire ses cours le soir et bien les remettre en forme si besoin. Et de toutes façons, on travaille par groupes sur les projets.
Gabin : de mon côté, je me suis beaucoup investi dans la vie associative avec le BDE. Je recommande un maximum d’implication, cela permet d’entrer dans la voie professionnelle et en même temps de partager de bons moments avec des amis et profiter un maximum. Je consacre le reste du temps au travail des cours. Cela ne me demande pas personnellement un énorme travail mais il faut néanmoins travailler et aller jusqu’au bout en relisant ses cours le soir.
Clovis : environ 80% des travaux à faire sont des travaux de groupe, surtout cette année. Donc on a forcément du travail à réaliser en dehors des cours.
Julie : je suis dans une colocation de 6 personnes sur Caen que j’ai trouvé sur LeBoncoin. Je prends le tramway pour venir sur le campus.
Clovis : j’habite dans le centre de Caen, sur le port. J’ai trouvé mon appartement par le biais d’une agence car j’étais au Costa Rica quand je l’ai recherché. La première année, j’étais dans une résidence étudiante sur le campus, cela permet de se faire des nouveaux amis. Et c’est plus simple à gérer. Je viens généralement en voiture ou en tramway.
Gabin : j’habite chez mes parents près du Havre. Financièrement, c’est plus intéressant.
Je suis tout le temps à vélo. C’est un aspect agréable de la ville. On a des pistes cyclables un peu partout. On trouve de la place pour se garer facilement.
Guillaume : j’habite dans le centre-ville du Havre, dans un logement que j’ai trouvé sur LeBoncoin. Je me rends sur le campus en général en tram ou à pied.
Gabin : un ordinateur principalement. Je m’y suis mis cette année car je travaillais sur papier avant.
Julie : un ordinateur est indispensable ainsi qu’une suite Microsoft Office et un bon téléphone. Personnellement, j’aime aussi prendre des notes sur papier. Il faut également une clé USB, des écouteurs et un sac.
Clovis : Un ordinateur obligatoire, et certains profs demandent des cahiers mais c’est rare.